Le dernier iceberg est un roman, un thriller écologique de Guy Servranckx. L’auteur a derrière lui une carrière en pathologies infectieuses. Ce roman nous plonge dans le futur proche. En 2040 la planète fait face à des températures qui mettent son futur en péril.
Il y a 10 milliards d’humains et un plan secret pour réduire la population de moitié est proposée aux scientifiques (sidérés) mais conscients du drame qui guette l’espèce humaine.
Mais en fin de compte l’homme n’est- il pas destiné à détruire son environnement pour satisfaire son plaisir immédiat ? C’est inscrit dans son cerveau reptilien. Il ne peut intégrer que l’avenir soit peut-être la fin de l’humanité.
Toutes les questions que pose ce roman sont cruciales. Respect de la nature, croissance, maladies nouvelles (covid) entreprises multinationales, big pharma et résistance de certains face à un monde qui joue à la roulette.
Le chemin de l’humanité dépendra de sa sagesse. Sommes-nous encore capables d’inverser le destin de la planète ?
Faut-il craindre l’inversion des pôles ? Guy Servrancks nous entraine dans une histoire qui mêle les faits scientifiques et l’espérance de ses héros de vivre heureux.
Alors qu’on avait refusé de l’éditer sous prétexte qu’il allait semer la panique, dans ce roman, l’écrivain belge Guy Servranckx décrit sans le savoir en 2018 presque comme une prédiction, pratiquement tout ce qui arrive à l’heure actuelle avec le virus Covid-19.
